L’HOMME VIBRATOIRE Par le Docteur Guy
Londechamp
L’HOMME VIBRATOIRE
Par le Docteur Guy
Londechamp
Un être humain est
considéré comme un « système ouvert », selon la terminologie
employée par Ilya Prigogine (Prix Nobel de Physique). C’est-àdire
qu’il échange continuellement des informations avec le monde dans
lequel il vit, et dont il se nourrit :il absorbe l’ordre du monde
extérieur et le stocke dans ses noyaux cellulaires.
Dans les systèmes fermés
(tubes à essai, matière inerte) le degré d’organisation varie
avec la chaleur :
- l’ordre augmente avec
l’extraction de chaleur, provoquant structuration et
cristallisation.
- il diminue avec le
chauffage : chaos et entropie (désorganisation, liquéfaction).
Toutes les modifications
sont prévisibles, reproductibles et réversibles. « Dans les
systèmes ouverts, chaque apport d’énergie véhicule des
informations et produit des corrélations dans le temps, l’espace,
les rythmes et structures : ces changements sont dépendants des
microimpulsions précises affectant les noyaux cellulaires…, et
modulant leur activité même en l’absence totale ou partielle des
substances chimiques ou biologiques nécessaires aux transmissions
(Fritz Albert Popp, « la biologie de la lumière »). »
La communication
cellulaire et la régulation biologique reposent sur des phénomènes
qui dépassent les équilibres chimiques et les lois de la
thermodynamique : on ne peut plus raisonner en termes de calories ou
de milligrammes de substance chimique par kilo de poids corporel !
Le changement structurel
d’un système ouvert n’est pas réversible ; on ne peut faire
revenir le système vivant à son état antérieur en lui prélevant
l’énergie ou la chaleur apportées (en admettant qu’elles soient
identifiables).
Les passages de phase non
en équilibre (= crises), qui sont des changements de système
d’ordre, ont parfois besoin d’un très faible apport d’énergie
déterminée.
- rôle des doses faibles
(homéopathie ?)
- précises sur le plan
informatif (qualité ?)
- répétées dans le
temps (structuration ?)
Si cet apport cesse, tôt
ou tard, l’organisation se rompt à nouveau d’elle-même et
globalement. (Popp, opus cité).
Des expériences
passionnantes ont été menées (Gurwitsch), Bohm / Popp en 1973,
Kaznachejev 1981) sur les communications cellulaires et le
rayonnement cellulaire ultraténu :
- tous les organismes vivants émettent une bioluminescence (sauf les algues simples et les unicellulaires) ultrafaible, d’un facteur 10 puissance18 fois plus faible que l’intensité de la lumière du jour.
- les intensités et spectres de ce rayonnement varient selon les espèces.
- il y a une augmentation très nette du rayonnement lorsque le système commence à mourir, indépendamment de la manière dont il meurt (toxique, chauffage, congélation…).
- il disparaît à la mort.
- les photons sont capables de provoquer et d’activer la division cellulaire, directement (ultra violets).
- les cellules communiquent entre elles grâce à des flux de photons spécifiques, et ce en dehors de toute transmission chimique, de tout contact physique direct.
Pour vérifier cela, on a
placé deux cultures cellulaires dans une solution nutritive, chacune
dans un ballon de quartz. Les deux ballons de quartz ont été mis en
contact à travers une membrane de quartz (cristallin) ou de verre
(amorphe) :
- quand on contamine la culture cellulaire n° 1 avec un virus, la colonie n° 2 devient malade aussitôt, en présentant les mêmes lésions cellulaires… mais sans la présence virale.
- quand on provoque une destruction cellulaire avec rayonnements, ou un toxique (mercure), l’autre culture présente les mêmes aspects pathologiques sans induction directe.
- si on remplace la membrane de quartz par une membrane de verre, la culture cellulaire n° 2 reste indemne, ce qui atteste le mode de communication direct par les ultraviolets que le quartz laisse passer (et pas le verre).
Par ailleurs, les dégâts
cellulaires génétiques se réparent pratiquement toujours en
quelques heures (quelle que soit la manière dont ils ont été
provoqués) dès qu’ils sont irradiés par un faible rayonnement UV
(environ 400 nanomètres de longueur d’onde) et ceci dans tout le
règne vivant !
- les cancers des rayonnements induits par la radiothérapie se situent dans la même bande spectrale critique ultraviolette.
- les molécules cancérigènes provoquent une diminution ou un arrêt de l’absorption et de la réémission de la lumière UV (« quasi dégénérescence »).
A titre anecdotique, les
appareils qui ont servi à mesurer ces émissions ultrafaibles
(comptage phonique avec photomultiplicateur) permettent de percevoir
un ver luisant à 10 km (en l’absence d’interposition bien sûr).
Les conséquences de ces
expériences sont immenses, au plan théorique comme en clinique :la
contagion basée sur une transmission microbienne ou virale directe,
peut se faire à distance sans même le contact entre les personnes !
Il suffit d’avoir
l’empreinte vibratoire, informationnelle de la maladie véhiculée
par le germe et de la transmettre par onde électromagnétique
appropriée… (dans le cas d’une volonté délibérée de guerre
bactériologique par exemple).
Imaginez le rôle de la
télévision, des satellites qui « informent » continuellement la
planète entière avec des images de peur, de violence, de désespoir
et de souffrance venues d’un endroit du monde (culture cellulaire
n° 1) et diffusées partout (culture cellulaire n° 2). Il suffit de
rayonnements UV
appropriés et d’un
état de réceptivité cellulaire et psychique pour entrer en
résonance, en phase…
Les épidémies peuvent
également se propager de cette manière puisque la présence
physique du virus n’est pas nécessaire : il suffit de son moule
électromagnétique (rôle de la peur en tant que facteur de
réception ?).
D’un autre côté,
l’identification spectrale des rayonnements ultra faibles en
biologie ouvre la voie à ce que Jacques Benvéniste appelle la «
biologie numérique ».
« Ces données sont
révélatrices de la nature physique du signal moléculaire : ce sont
des ondes radioélectriques dans la gamme des Khz. Elles annoncent le
passage rapide de la biologie structurelle actuelle vers des méthodes
infiniment plus puissantes utilisant les possibilités de
l’informatique. »
On peut schématiser deux
types d’applications liées mais séparées :
- Après le développement technologique des moyens actuels, la diffusion du signal ouvrira immédiatement de nombreuses possibilités d’intervention. Nous pouvons imaginer d’interdire l’accès des cellules à tous les indésirables, internes à l’organisme et d’administrer des produits thérapeutiques sous forme électromagnétique. Ceci éviterait les effets toxiques et les problèmes pharmacocinétiques et galéniques des thérapeutiques actuelles. D’autres applications sont envisageables comme par exemple des pesticides électromagnétiques domestiques et agricoles, etc.
- Dès qu’elles seront obtenues, l’analyse et la mémorisation du signal bouleverseront la détection des molécules. Elles seront identifiées en temps réel par la reconnaissance numérique des fréquences (et peut-être neutralisées par les mêmes fréquences en opposition de phase).
Deviendront possibles la
détection (par exemple, l’analyse sur le terrain des contaminants
et polluants de l’eau, de la rivière au robinet, sans autre
limitation du nombre d’espèces chimiques ou bactériologiques que
la mémorisation numérique de leur fréquence), la « synthèse »
numérique d’activités nouvelles et inconnues, qu’elles soient
physiologiques, pharmacologiques ou pathologiques (par exemple
infectieuses - bactéries, virus, parasites - ou tumorales…), le
stockage
par tout moyen
électromagnétique, le transport à distance, l’identification de
systèmes biologiques complexes, y compris dans leurs aspects
fonctionnels, de façon quasi instantanée et quantitativement
illimitée… Les possibilités chimiques, biochimiques, biologiques
et médicales seront multipliées d’un facteur comparable à celui
qui sépare le cheval de la fibre optique.
Ces applications
pourraient contribuer à améliorer l’état sanitaire et
alimentaire des pays pauvres et, sur nos sols, enrayer les grandes
endémies comme celles résultant de contaminations virales.
(Article paru dans la «
Revue Aesculape » N° 5 (Mars/avril 97) de Jacques Benvéniste -
Directeur du Laboratoire numérique de l’INSERM)
Dans un monde inondé de
rayonnements en tous genres, il devient de plus en plus difficile de
vivre sans un principe d’ordre très puissant, capable de changer
la nature des ondes discordantes reçues et de les réémettre sur
des longueurs d’ondes cohérentes beaucoup plus élevées.
Car l’ADN peut capter
une fréquence et en émettre une autre ! Il y a une très grande
différence entre les réactions physicochimiques en tube à essai
(ou ballons de quartz) et dans un organisme vivant. L’efficacité
est sans commune mesure, et dépend « d’un champ porteur,
régulateur, englobant constamment tout l’organisme comme un plasma
directeur ( = bioplasma) ».
L’autre aspect très
important de ces communications cellulaires ultraténues est
représenté par les échanges inconscients entre tous les êtres
vivants. Nos cellules communiquent entre elles à l’intérieur de
notre espace corporel, mais aussi à l’extérieur, avec l’ADN du
monde végétal, animal et humain.
Les transmissions se
faisant par des faisceaux de photons cohérents (= laser modulable),
il n’y a pas de perte d’énergie à distance, pas de dissipation
du contenu informatif. Nous sommes loin des équilibres thermiques
(flux de photons « froids »), dans le champ « des atomes crochus
», des résonances directes d’être à être, d’organisme à
organisme… sans mensonge ! Par le biais de la radio ou de
l’ordinateur cellulaires !
C’est le support de
compréhension des facultés dites parapsychiques, de la télépathie,
des ressentis à distance entre une mère et son enfant séparés par
des milliers de km, de la transmission de contenus psychiques
refoulés et inavouables de génération en génération (« honte
familiale » à type de viol ou d’inceste, mort d’enfant,
trahisons…) [voir « Aïe mes aieux » de Anne Ancelin
Schützenberger - Ed. Desclée de Brouwer].
C’est aussi une porte
ouverte sur la possibilité de faire sortir ces programmes de l’ombre
pour les ramener dans la conscience éclairée, et en changer la
nature… pour développer certaines qualités psychiques également
!
Nous sommes faits de
lumière condensée dans nos noyaux cellulaires, nourris et élevés
par la lumière qui nous parvient du soleil, de l’univers et du
monde
ambiant…
Si chaque être réémet
de la lumière continuellement, il participe à l’édification
du monde à chaque
seconde, d’une manière intangible, invisible par le biais de ces
rayonnements ultrafaibles.
La matière de notre
corps, qu’on croit dense et solide, est bâtie selon les lois
universelles, véhiculées par la lumière sous tous ses aspects,
toutes ses fréquences.
Les cellules émettent
des microondes dans les gammes de fréquences comprises entre 1011 et
1012 Hz (attention aux interférences avec les fours à micro-ondes
et les téléphones « cellulaires » sachant l’induction possible
de divisions cellulaires).
La « lumière froide »
construit les formes selon les lois de l’univers ; la « lumière
chaude » les détruit, dissout les formes et augmente le chaos…
Mais elle permet la croissance et l’expansion, si elle est
contrôlée.
La libre circulation des
informations entre le cerveau, les organes des sens et l’ensemble
de l’organisme ne se fait donc pas qu’à travers les hormones,
les médiateurs chimiques ou les neurotransmetteurs. Elle implique
l’instantanéité des transferts d’information par le biais
d’ondes électromagnétiques échangées à chaque seconde au
niveau de l’ADN de nos cellules ; ce partage
d’informations et cette
solidarité sont seuls garants de la cohérence d’ensemble et de la
santé (distribution hologrammique de la mémoire). La maladie
apparaît alors comme une discordance (« puzzle éclaté ») avec
perte ou blocage d’information. Pour accéder au sens de cette
perturbation, il faut pouvoir intégrer les différents niveaux de
fonctionnement de la conscience, et ses rapports avec le monde dans
lequel elle évolue.
Pour ce faire, sans
perturber l’équilibre intérieur déjà fragile par des méthodes
invasives , brutales, nous devons apprendre à dialoguer avec le
corps, l’ordinateur cellulaire. Le fil conducteur, l’outil du
dialogue, peut être la prise du pouls. Le Dr Paul NOGIER, pionner en
France de l’auriculomédecine, a montré que le corps réagit à
toute information présentée au contact de la peau, ou à distance,
par un signal automatique de rebond vasculaire, perceptible au pouls.
Ce signal explique la relation existant entre l’organisme et
l’information présentée...
Cette information peut
être chimique, hormonale, une couleur, un métal ou même un
symbole... L’onde électromagnétique ou l’onde de forme émises
par la substance ou le signal est reconnue instantanément, décodée,
analysée et confrontée à la mémoire disponible dans l’ordinateur
cellulaire.. La réponse quasi immédiate au pouls décrit les
possibilités d’adaptation et de réponse de la personne.
Exemple : je suis en
ordre, pas de toxicité ni de besoin, je m’adapte parfaitement à
la question je maîtrise le traitement d’information. S’il s’agit
de fer, cuivre, argent... cela signifie que toutes les fonctions
physiques ou énergétiques, psychiques dépendant de ce métal sont
en ordre.
Une réaction au pouls
perturbée indique un problème à explorer.
Les différents pouls
palpés sur les artères radiales et cubitales des deux poignets
permettent d’entrer en contact avec quatre champs d’expériences
de la conscience :
- la relation avec le Soi et ses valeurs, le(s) but(s) et le sens de l’existence sur le pouls cubital gauche,
- · le champ mental et les croyances, les rôles et les objectifs matériels, concrets sur le pouls radial gauche,
- la vie émotionnelle et relationnelle, affective, le travail sur le pouls radial droit,
- la relation avec le corps, la Terre, la Vie, la cohésion intérieure et la mémoire profonde sur le pouls cubital droit.
L’expérience clinique
m’a montré la relation étroite qui s’établit entre le côté
gauche du corps et l’influence maternelle, entre le côté droit et
le soutien offert par le père.
Par l’étude des pouls
de la main gauche on explore la perception, la construction de soi,
l’identité, la sphère mentale, l’accès au monde intérieur.
C’est le champ d’influence lunaire, labile, sous dominance
maternelle pour l’enfant = sphère de l’éveil et de
l’intelligence, de la conscience de soi qui se traduit par une
certaine lumière psychique, une vivacité du regard…
Une mère possessive ou
autoritaire à l’excès peut « couvrir » l’enfant, et éteindre
cette lumière temporairement. Cette influence est incontournable
pour chaque enfant, c’est l’empreinte de la matrice :pendant
toute la grossesse, l4enfant est baigné par les humeurs et les
pensées de sa mère, qui s’impriment dans les cellules de son
corps, dans les rythmes de ses liquides, dans les «câblages » de
son système nerveux…
La mère est à la fois
tout autour et au-dessus de l’enfant, reflétant la dynamique
centripète du pôle neurosensoriel.
Ainsi chez un enfant
présentant des troubles patents d’organisation et de structuration
(atteinte précoce des organes des sens), il peut être intéressant
de sonder la relation avec la mère et les conflits sous-jacents,
parfois imprononçables !
L’autre côté du corps
exprime plutôt le rayonnement vital et psychique, les actes et la
vie de relation au monde extérieur, ainsi que le bien-être
corporel.
Les pouls de la main
droite sont le reflet de la spontanéité d’être, de l’expression
de soi, de l’énergie vitale et de la créativité :tous ces
aspects, de nature solaire, émergent du courant de vie que l’enfant
prend par les pieds en se redressant. Cette force-là, offerte par la
Terre, réchauffe le ventre, nourrit les reins et le plexus solaire ;
elle permet l’expression de soi dans un conflit, pousse à l’action
et au don de soi… au combat aussi quand elle est excessive,
insuffisamment guidée par la lumière psychique du pôle
neuro-sensoriel.
Toute la chaleur physique
et psychique vient du ventre, à la rencontre de la lumière d’en
haut. Les deux courants d’énergie s’interpénètrent
continuellement, du haut vers le bas et du bas vers le haut comme une
étreinte constante du Père et de la Mère pour faire naître
l’Enfant , la conscience déployée et harmonisée aux deux pôles.
La proportion,
l’influence relative de chacun des courants varient selon les
individus, mais surtout selon les parties du corps. La tête, sphère
de la conscience d’éveil a une vitalité très réduite, presque
suspendue à un fil :les cellules nerveuses ne se renouvellent pas
(ou très lentement si l’on en croit les dernières découvertes à
ce sujet), la moindre inflammation perturbe toutes les fonctions de
cette zone (migraine, sinusite ou otite).
A l’inverse, la
conscience est peu présente aux viscères, ou alors les perturbent
(colite spasmodique) ;mais la force et la chaleur se déploient
fortement vers le monde extérieur.
Et c’est le père qui
le représente, car il vient à la rencontre de l’enfant du dehors,
la mère étant perçue comme les limites extérieures du corps de
l’enfant. Ainsi la façon dont le père reconnaît l’enfant,
entre en contact avec lui, la qualité de l’affection et de la
protection offertes permettent à cette force de vie, d’être reçue
et de se déployer.
Il s’agit bien d’un
soutien par le bas, dont le père est responsable : un refus de la
grossesse, une absence
trop grande, une image du père trop faible ou négative
(violence, raideur
excessive ou effacement total) se traduisent chez l’enfant par une
perturbation ou un blocage profond du courant de vie, de la prise de
terre.
Avec ses conséquences
évidentes : manque d’énergie et de vitalité, de confiance et de
stabilité, peur du conflit… ou impulsivité, violence et
irritabilité continuelles chez un être réactif (recherche du
conflit pour mesurer la force qu’il n’a pas reçue).
Dans une maison, la
prise de terre protège des sautes de courant (d’humeur) et des
coups de foudre (sidération psychique par un choc) en évacuant vers
les pieds et le sol l’excédent d’énergie qui échauffe les
circuits… Avoir une bonne prise de terre, c’est intégrer les
stress de la vie de tous les jours en restant relâché, sans «
disjoncter », sans que les épaules s’alourdissent constamment.
D’une certaine manière,
on nourrit cette attitude, gage de résistance et de stabilité, en
confiant nos problèmes à la vie qui coule en nous, pas en se
raidissant pour avancer avec la charge sur les épaules.
Ecole de détachement et
de simplicité…
C’est par le pouls
correspondant aux énergies de racines, d’ancrage en terre, que
viennent, vers la conscience, les archaïsmes les plus profonds =
tendances morbides familiales, problèmes de vie intra-utérine ou
des trois premières années d’existence (carences affectives
précoces), mémoires ethniques, ou souvenirs d’un passé lointain…
Si l’ouverture au corps
et à la vie est bonne, gage d’une bonne relation au père, ou d’un
travail actif de pacification réalisé à l’âge adulte, ces
mémoires se libèrent vers la conscience comme un fruit mûr tombe
de l’arbre, libérant un voile ou une entrave à une fusion plus
profonde.
Fusion entre la vie et
la lumière, provoquant illumination progressive, ordre etalignement
entre les différents niveaux d’organisation.
Si un verrouillage
profond existe à un niveau (un chakra majeur), l’entrave à la
libre circulation de l’énergie-vie va provoquer l’émergence
d’une maladie plus ou moins importante selon les cas.
La comparaison avec la
maison qu’on habite permet de saisir les analogies évidentes entre
monde intérieur et monde extérieur .
C’est toujours
intéressant d’examiner de près son habitat, parce qu’on peut y
lire parfois des informations très précises sur le fonctionnement
de notre personnalité: d’abord le choix de la maison, et puis les
problèmes qu’on rencontre (fuites d’eau, de toit, problème
d’isolation, le bruit, WC bouchés…)
Et la pratique m’a
montré aussi qu’on pouvait s’aider soi-même,( par exemple avec
un problème d’ancrage en terre, « de racines ») en allant
intentionnellement ranger sa cave, nettoyer et faire le constat
conscient de ce qui ne va pas ! Il y a une sorte de simultanéité,
de synchronisation entre les
évènements extérieurs
à nous, qui nous arrivent du dehors apparemment, et les changements
intérieurs, souvent inconscients, qui s’opèrent ou doivent
s’opérer dans notre vie psychique et physique.
L’axe vertical des
pouls cubitaux est le champ de résolution de la dualité
CORPS/ESPRIT (objectivité), l’axe horizontal des pouls radiaux, le
champ de résolution de la dualité MENTAL/AMOUR (subjectivité).
Ces deux axes sont
constamment en interaction l’un sur l’autre, l’évolution se
portant tantôt dans une des directions, tantôt dans l’autre,
selon des séquences particulières.
Il reste que le champ le
plus perturbé dans la grande majorité des cas est le champ
émotionnel :toute la vie affective, les attachements, les
comportements hérités, la vie professionnelle et créative ;tout
cela conditionne l’essentiel des perturbations qui nous affligent
de quelque manière que ce soit.
Le bilan de départ
montre l’état global de la personne, son ouverture, son
organisation intérieure : un axe vertical avec les pouls cubitaux,
un axe horizontal avec les pouls radiaux. Par ses réponses aux
questions posées (tests), l’organisme indique par quel pouls (plan
ou corps) commencer, quels sont les éléments importants et
accessoires, et dans quel ordre traiter...
Puis on change de pouls
pour vérifier la mobilité intérieure, et le transfert
d’informations entre
les niveaux.., jusqu’à l’obtention d’un déploiement complet
de tous les paramètres de mesures dans les quatre pouls. L’être
est alors centré, ouvert, et ses niveaux interconnectés : il entre
alors dans un mouvement d’oscillation globale qui peut durer
quelques jours (à plusieurs semaines), et aboutit à un autre
équilibre, en principe meilleur, sur lequel il faudra à nouveau
travailler.
L’intervalle entre les
séances varie selon l’état de la personne, l’urgence et la
profondeur des troubles, leur ancienneté, les possibilités de
conscience du patient, celles du thérapeute en même temps que la
précision de ses outils, et sa cohérence. Ce que j’observe au
quotidien depuis près de 20 ans, c’est que nous avons au fond de
nous des ressources extraordinaires dans le “disque dur de
l’ordinateur” (1’
ADN de nos cellules comporte 3 à 5 % de gènes impliqués dans le
fonctionnement du corps et plus de 90 % restent hors de notre
compréhension rationnelle).
Avec des clés d’accès
appropriées, nous pouvons ouvrir certaines portes intérieures qui
nous rapprochent de notre être profond, de notre simplicité
fondamentale et lumineuse... On peut vivre alors des transformations
radicales, faire l’expérience de l’unité d’axes, où tout est
simple ! Vivre cet état quelques semaines permet de remplacer (dans
le disque dur cellulaire) l’image ancienne de soi par une autre
plus pleine et rayonnante, plus conforme à notre perception du
Soi... et de la garder toute notre vie.
Les états de crise
ultérieurs sont alors vécus avec une autre légèreté, et un autre
regard, beaucoup plus serein ; car il n’y a pas de changement
profond dans une maladie grave (cancer, maladie auto-immune, SIDA,
dépression...) sans accès au sens et sans compréhension.
Le sens est porteur
d’ordre ; il a une fonction rassurante, donne une direction et
permet d’accepter une épreuve difficile comme un apprentissage
nécessaire de soi-même, que la Vie propose. En reprenant la
responsabilité de sa vie, on augmente sa cohérence, sa confiance..,
et on peut faire disparaître à la fois la tendance à la maladie et
le besoin du thérapeute, ce qui est le but réel de toute
thérapie.
Diffusé sur
www.arsitra.org - (c) 2002
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