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mercredi 28 décembre 2016

Bio-magnetisme


C’est en 1960, en voyant un technicien de son équipe opérer à l’aide d’une baguette de sourcier, après une explosion atomique souterraine française au Sahara dont il étudiait les effets, que le professeur Yves Rocard père de la bombe atomique française et Directeur du laboratoire de physique de l’École normale supérieure, d’abord incrédule puis étonné, résolut d’étudier le magnétisme humain. Deux ans plus tard, il publiait la première édition de son ouvrage, Le Signal du sourcier, dans lequel, décrivant un certain nombre d’expériences auxquelles il s’était livré, il démontrait l’existence du magnétisme humain que l’un de ses précurseurs, Mesmer, appelait le magnétisme animal.



Le sens magnétique

Selon Yves Rocard, le mouvement de la baguette était provoqué par une anomalie du champ magnétique terrestre à laquelle réagissait le magnétisme même du sourcier. Il expliquait que, si les radiesthésistes détectent la présence de sources, c’est précisément parce que l’eau traîne des sels ferreux et ferriques qui se déposent et s’accumulent dans la terre qui la filtre (c’est le phénomène de l’électrofiltration). Selon lui, les radiesthésistes sont doués, comme tous les êtres vivants mais à un degré plus élevé, d’un sixième sens : le sens magnétique.


Mieux encore, dans un autre ouvrage, Les Sourciers (chapitre IV, Presses universitaires de France, dont la dernière édition date de 1991), le physicien expliquait qu’ « en appliquant au corps humain des stimulations magnétiques localisées, pour tester l’apparition ou non d’un réflexe neuro-musculaire entraînant la rotation du pendule » son équipe et lui-même avaient établi que la sensibilité magnétique de l’homme « est concentrée en des zones ponctuelles, situées deux par deux au même niveau du corps, à droite et à gauche », à savoir les arcades sourcilières, l’arrière du crâne où les attaches cartilagineuses du cou maintiennent la tête, les extrémités hautes des deux muscles lombaires attachés au squelette (vers les omoplates), le creux des coudes, le creux des genoux, les talons, enfin l’articulation au pied de chacun des deux gros orteils.

Des cristaux de magnétite sous les sourcils

Or, en 1983, le biologiste britannique R. R. Baker, de Manchester, devait découvrir que l’arcade sourcilière humaine contenait des petits cristaux de magnétite et deux biologistes américains, Gould et Kirschvink, devaient mettre en évidence l’existence de ces mêmes cristaux dans le cerveau et le cou des pigeons, dans la tête des baleines, des orques, des dauphins, sur le ventre des abeilles et de la plupart des insectes.

A l’examen au microscope électronique ces petits cristaux de magnétite apparaissent percés de 150 trous, où aboutissent autant de terminaisons nerveuses. « Si l’on connaît un peu le magnétisme minéral, on imagine sans peine, commentait le Pr Rocard, que ces terminaisons nerveuses subissent une sorte de magnétostriction, phénomène connu quoique peu étudié. Cette magnétostriction comprimerait un nerf qui enverrait alors un signal moteur : tel nous semble être le mécanisme du biomagnétisme ». Il ajoutait : « Des expériences nous ont montré que les mains des magnétiseurs ”reconnus”, ainsi que des personnes atteignant le même seuil de sensibilité, produisent les mêmes effets qu’un petit aimant. Nous en déduisons que l’organisme de ces personnes bénéficie d’un supplément de magnétite, qui serait aussi logée dans les articulations de leurs doigts, à la différence de la majorité de la population » (Les Sourciers p. 56-57).

Vent solaire et vent magnétique

Visiblement, les très médiatiques professeurs Kahn et Schwartzenberg n’avaient pas lu cet ouvrage et ignoraient entièrement les innombrables expériences du professeur Yves Rocard, lorsqu’ils déclarèrent, le 12 avril 1995, dans une émission de télévision intitulée : Les Guérisseurs, médecine différente ou médecine bidon ? aux magnétiseurs auxquels Anne Barrère les opposait : « Comment ? Vous avez une pratique dont vous ne savez pas en quoi elle consiste et vous prétendez l’enseigner ? C’est de la charlatanerie ! Et le magnétisme, c’est du vent ! »

Ils avaient cependant raison de dire que « le magnétisme est du vent ». En effet, les astrophysiciens appellent précisément les puissants orages électromagnétiques rayonnés par le soleil, au maximum de son activité, le « vent solaire » ! La question que pose le magnétisme n’est donc pas de savoir si c’est du vent puisque le vent est précisément l’ensemble des courants d’air chaud (plus léger et qui monte) et d’air froid (plus lourd et qui descend), créés par l’alternance, d’un pôle à l’autre de la Terre, des zones de forte pression atmosphérique (aux pôles et aux Tropiques) et des zones de basse pression atmosphérique (à l’Equateur et entre les pôles et les Tropiques).

Le « vent magnétique »


La question qui se pose est de savoir si, comme le soleil, les êtres vivants rayonnent un « vent magnétique », plus subtil que les vents d’est et d’ouest parce que, tandis que les vents sont constitués par des molécules de matière et que le vent solaire (ou électromagnétique) est constitué par des particules atomiques, le vent magnétique semble constitué par les corpuscules d’un tissu encore plus fin que celui des particules atomiques et des ondes électromagnétiques qui les véhiculent (un article tentant d’expliquer ce phénomène et intitulé Le Magnétisme : la propriété d’attraction du Plein par le Vide et du Vide par le Plein est paru dans Les cahiers de la Bio-énergie n° 4).

Les quatre facultés spécifiques du magnétiseur

Quant au professeur Rocard, il avait déjà répondu depuis des années aux déclarations totalitaires de la pensée scientifique ou médicale unique, si fortement exprimée par MM. Kahn et Schwartzenberg, en déplorant « l’attitude de prétendus scientifiques qui qualifient d’ésotérique tout ce qu’ils ne peuvent expliquer avec les connaissances actuelles » et « la mainmise de la science sur la recherche et son refus d’admettre ce qui gêne ses nombreux dogmes ». Il ajoutait : « Il est sans doute surprenant que nous soyons sensibles à des variations magnétiques aussi infimes (1/5000 du champ terrestre). Cela étonne le physicien comme le biologiste, mais c’est un fait désormais bien établi ».

Selon le professeur Rocard, le magnétiseur possède quatre facultés spécifiques :
1.  ses mains peuvent provoquer la rotation d’un pendule tenu par un sujet, en agissant sur les arcades sourcilières de ce sujet ;
2.  il est capable de momifier de la viande, des œufs, des légumes ou des fruits après une simple imposition des mains ;
3. sa sensibilité de sourcier se situe très au-dessus de la moyenne ;
4. il peut faire tomber en arrière un sujet en tendant les mains vers lui à environ 60 cm de la base de son cou.

Cette dernière faculté tient au fait que l’équilibre de l’homme sur ses jambes est un phénomène magnétique. En effet, de la même manière que la Terre oscille sur l’axe de ses pôles géographiques et magnétiques, l’homme, sans s’en rendre compte, oscille, en station debout, sur l’axe de sa colonne vertébrale d’un centimètre d’avant en arrière et retour et d’un centimètre également de droite à gauche et retour.

Oscillation magnétique de l’homme

Averti, en 1964, par un inventeur qui dissipait les crampes des mollets d’un patient au moyen d’aimants et par plusieurs médecins qui confirmaient ces résultats, le Pr Rocard résolut d’en avoir le cœur net en faisant une série d’expériences avec un posturologue, le Dr Jean-Baptiste Baron, de l’Hôpital Sainte-Anne, à Paris. Il s’agissait de démontrer qu’un champ magnétique provoquait des réactions neuro-musculaires et modifiait la posture de l’homme. L’expérience conduite sur douze pompiers de Paris fut concluante et rapportée dans Les Sourciers (p. 62-63). Si donc un magnétiseur réussit à faire basculer en arrière un individu en se plaçant derrière lui et en tendant les mains vers son cou, c’est bien parce que ses mains rayonnent un champ magnétique assez puissant pour lui faire perdre l’équilibre, qui est bien dû à des réactions neuro-musculaires au champ magnétique terrestre et, en l’occurrence, au champ magnétique supplémentaire rayonné par le magnétiseur.


Bien sûr, si le Pr Rocard a été le seul scientifique français de renom à s’intéresser au magnétisme, il n’a pas été le seul scientifique à s’y intéresser dans le monde.

L’effet Kirlian

Dans l’ex-Union Soviétique, dès les années cinquante, de nombreuses recherches, d’innombrables expériences ont été faites et des congrès de magnétisme et de radiesthésie ont été organisés. En Allemagne fédérale le professeur Walther de Halle observa une augmentation de la tension artérielle des sourciers lorsqu’ils se trouvaient au-dessus des cours d’eau ou d’anomalies géobiologiques. Aux Etats-Unis, le Laboratoire de l’Utah Water Research Laboratory a conduit des expériences publiées dans une brochure de 55 pages, en 1971 qui ont mis en évidence le sens magnétique chez des dizaines d’étudiants.


Au début des années soixante-dix, tandis que l’engouement pour les sciences occultes ou, plus exactement, les phénomènes dits paranormaux, qu’on venait de rebaptiser parapsychologie, connaît un prodigieux renouveau, encouragé par des scientifiques comme le Pr Rémy Chauvin, on croit soudain être parvenu à photographier le magnétisme humain.


En effet, la nouvelle de la découverte accidentelle en 1939, par un jeune électricien russe de Krasnodar, Semyon Kirlian, de l’électrographie, plus connue sous le nom d’effet Kirlian, et des recherches qu’il a conduites, pendant plus de vingt ans, avec son épouse, Valentina, se répand dans le monde et, notamment en France, après la publication, chez Robert Laffont (1973), d’un ouvrage intitulé Fantastiques Recherches parapsychologiques en U.R.S.S., qui devient vite un best-seller.

Les magnétiseurs rayonnent davantage

Il s’agit d’une enquête conduite, en 1970, en Union Soviétique, par deux journalistes américaines, Lynn Schroder et Sheila Ostrander. Les journaux s’emparent de l’affaire et affirment que les Russes sont parvenus à photographier l’aura, ce mystérieux rayonnement émis par le corps humain que les yeux de certains médiums parviennent à voir et qui ne serait autre que le rayonnement magnétique de Mesmer et du Pr Rocard que l’iconographie ancienne symbolise par une couronne de feu autour de la tête des initiés, l’auréole !

Cette même année 1970, une psychologue américaine de l’U.C.L.A. (Université de Californie Los Angeles) se rend en Union Soviétique pour rencontrer les Kirlian. De retour en Californie, elle photographie les mains de nombreux magnétiseurs et montre que le rayonnement qui en émane est supérieur à celui des mains de sujets ordinaires. L’année suivante, en France, un photographe, Georges Hadjo, commence des recherches électrographiques et ne va pas tarder à devenir le premier spécialiste français de ce qu’il appelle aujourd’hui éléctrographie et électrophotonique et du diagnostic médical au moyen de ce procédé. En effet, dès 1974, un médecin autrichien, Reinhold Voll a commencé d’établir une relation entre le rayonnement électrophotographié et les pathologies, qui permet de diagnostiquer les maladies. Le Roumain Dimitrescu a montré que l’électrographie met en évidence les points de l’acupuncture chinoise, qui sont les points où la peau présente une moindre résistance au passage de l’électricité. Voll confirme ce constat et montre que l’électrographie met également en évidence les méridiens de l’acupuncture et perfectionne son diagnostic bio-électronique. N’oublions pas que, dans les années soixante-dix, l’acupuncture est encore considérée comme une charlatanerie par la Faculté de médecine et qu’il n’existe encore aucune chaire d’acupuncture dans les facultés de médecine françaises.

Transfert d’énergie

L’électrographie ou l’électrophotonique utilise un appareil muni d’une électrode qui permet d’induire un courant électrique. Sur la surface de l’appareil se trouve un film placé sous une plaque de verre sur laquelle on applique l’objet le plus souvent la main que l’on veut électrophotographier. On fait passer le courant, dans la pièce obscure où se trouve l’appareil. La tension du courant doit être assez élevée (plusieurs dizaines de milliers de volts) sans toutefois dépasser le seuil critique que l’on détermine en fonction de l’isolant choisi, faute de quoi on risque l’électrocution. Quant au courant, il est assez faible, d’un micro-ampère environ. Il se produit alors un champ électrique, en général alternatif, qui interagit avec la main ou l’objet, placés sur la plaque de verre et eux-mêmes porteurs de charges électriques et c’est cette interaction du champ électrique de l’appareil et du champ magnétique de l’objet qui engendre les radiations qui impriment le film.


Les expériences d’électrographie se multiplient et produisent des résultats assez stupéfiants. On s’aperçoit, par exemple, que le rayonnement que l’on observe autour des mains des sujets et même des végétaux est différent selon que ceux-ci sont en bonne ou en mauvaise santé, en état de tension ou, au contraire, de détente. Elles mettent également en évidence, en Union Soviétique et surtout aux Etats-Unis où l’engouement des scientifiques pour le phénomène est prodigieux et, bientôt, en France, qu’il se produit un transfert d’énergie entre un guérisseur qui opère par magnétisme et son patient.

Le film enregistre une mutilation

On constate également que les feuilles de végétaux intactes et les feuilles de végétaux mutilées affectent le rayonnement de façon très différente. Ainsi, autour des feuilles intactes, le rayonnement est-il bleu et blanc avec un soupçon de rose ou de rouge. Tandis qu’autour d’une feuille mutilée, des plaques rouge et orange apparaissent très nettement aux endroits même de la mutilation. Qu’on s’avise de faire traiter la feuille mutilée par un magnétiseur, avant de l’électrographier, et voici que le rayonnement est beaucoup plus lumineux. On en conclut que le magnétiseur a transféré de son énergie à la feuille.


En 1975, les Américains Stanley Krippner et Daniel Rubin publient The Energies of Consciousness (publié, en France, chez Tchou, en 1977, sous le titre Les Energies du corps vivant), qui fait le point des recherches sur l’effet Kirlian dans le monde.

Un article de cet ouvrage, signé Richard Dobrin, Carl Kirsch, Sander Kirsch, John Pierrakos, Eric Schwartz, Theodore Wolff et Yuval Zeira, rapporte les expériences conduites à l’Institute for Bioenergetic Analysis afin de mesurer le champ de l’énergie humaine.

« Dans l’état actuel des recherches, concluent les auteurs, les résultats obtenus tendent fortement à montrer qu’il émane de l’être humain un champ décelable par le phototube. Il est nécessaire de mieux connaître les propriétés de ce champ. Pour le moment, on l’étudie essentiellement dans la région du thorax et de l’abdomen. L’un des objectifs futurs sera d’en déterminer la distribution dans l’espace au moyen de techniques de balayage. »

Les êtres vivants rayonnent un champ !

Ils précisent également que le rythme de pulsation de champ, rayonné par l’homme, se situe entre vingt et quarante vibrations par minute et que la quantité de lumière émise par les sujets des diverses expériences est extrêmement faible mais tout de même existante. Le nombre de photons enregistré à la photocathode est compris entre 50 et 220 par seconde. Quand on sait que le nombre de photons enregistré en un point de l’onde pour le spectre de la lumière solaire varie de 400 000 milliards (pour le rouge) à 695 000 milliards (pour le violet) de photons à la seconde, on se rend mieux compte de l’écart astronomique qui existe entre le rayonnement du soleil et le rayonnement aurique d’un être vivant ! Il n’en reste pas moins que, si faible soit-il, ce rayonnement existe : on l’a mesuré et, de surcroît, dans des régions du corps « abdomen et thorax » qui ne sont pas celles où se situent les cristaux de magnétite !

Prescience d’une mutilation


Parmi beaucoup d’autres, l’ouvrage relate une expérience assez stupéfiante conduite par la psychologue Thelma Moss et son équipe. On décide de mutiler une feuille selon un tracé précis et on la photographie avant de lui infliger la mutilation. On constate alors que des trous noirs apparaissent dans le rayonnement aux endroits mêmes où la feuille doit être ensuite mutilée. Tout se passe comme si la feuille avait connaissance de la mutilation qui va lui être infligée, ce qui implique un transfert inconscient d’information entre l’équipe des expérimentateurs et la feuille, qui n’a pourtant pas de système nerveux central ou de cerveau.


Dans un autre article de cet ouvrage, Richard Allan Miller et de Karl Elmendorff, qui relatent plusieurs de leurs expériences, fournissent une explication du phénomène.
 Selon eux, l’image obtenue, au moment de la décharge électrique, est celle d’un champ de rayonnement provoqué par un mouvement classique d’électrons et de photons. La photo Kirlian est obtenue par l’ionisation c’est-à-dire l’émission de charges électriques de l’enveloppe gazeuse de l’objet photographié. C’est ce phénomène qui rend visible les gaz sous forme d’un rayonnement lumineux, qu’il s’agisse des gaz émis à la surface de l’objet photographié ou des gaz qui l’enveloppent.

Bien sûr, l’essentiel du rayonnement a pour origine le courant électrique. Cependant les sujets vivants émettent aussi des électrons, des photons, des ions (groupements d’atomes porteurs d’une charge électrique) et du gaz — qui constitueraient ce que l’on appelle l’aura. Les images obtenues sont donc produites par l’interaction du champ électromagnétique, créé par le passage de la décharge électrique, et du rayonnement du champ électromagnétique propre au sujet photographié. C’est là une évidence pour la bonne raison que, si l’électrographie ne faisait apparaître que le rayonnement du champ électromagnétique provoqué par la décharge électrique, on ne pourrait pas observer les variations d’intensité et de couleurs du rayonnement selon que le sujet est sain ou malade, tendu ou détendu. Rien n’expliquerait non plus les variations du champ liées aux objets magnétisés — dont le rayonnement est plus intense — ni la prescience que les végétaux font apparaître de la mutilation qui va leur être infligée.

L’explication de Miller et d’Elmendorff, pour valable qu’elle soit, est insuffisante. Elle n’explique pas comment l’information constituée par le protocole de l’expérience — en particulier l’intention de mutiler la feuille selon un tracé précis qui s’y trouve inscrite — se propage, depuis le cerveau des expérimentateurs et le texte du protocole dans l’espace et jusqu’aux champs électromagnétiques de l’appareil et de la feuille au point que le tracé de la future mutilation apparaisse sous forme de points noirs sur le cliché.

L’effet fantôme

D’autant qu’en 1978, au premier symposium sur la bio-énergétique organisé à Paris, Georges Hadjo présente la technique particulièrement fine d’électrographie qu’il a mise au point et qu’il nomme électrophotonique. Cette technique lui a permis de reproduire toutes les expériences qui ont déjà été faites mais avec une précision encore inégalée et de conduire des expériences originales. Ainsi, après l’équipe de Thelma Moss, a-t-il photographié, à son tour, des feuilles de végétaux, cinq secondes après les avoir amputées. Or, chose extraordinaire, les clichés font apparaître un rayonnement qui correspond à la partie sectionnée de la feuille, qui n’a bien évidemment pas été électrophotographiée. Tout se passe comme si le champ d’énergie, rayonné par la feuille, conservait la mémoire de la forme initiale d
la feuille, en dépit de l’amputation ! Comment donc expliquer ce phénomène aussi ahurissant que fabuleux ?


http://www.francaise-bio-energetique.com/le-bio-magnetisme.htm Richard Sünder 

Physique quantique


Le photon un mystère fondamental et passionnant.

Le monde subatomique où l'on peut changer le passé (du photon en tous cas).

Passé, présent, futur,  ne forment qu'un dit le Tao, c'est l'esprit qui y voyage (à condition d'être en état d'éveil total et libéré de l'illusion des fréquences limitatives imposées à nos sens physiques).



L'homme vibratoire

L’HOMME VIBRATOIRE Par le Docteur Guy Londechamp

 
L’HOMME VIBRATOIRE

Par le Docteur Guy Londechamp



Un être humain est considéré comme un « système ouvert », selon la terminologie employée par Ilya Prigogine (Prix Nobel de Physique). C’est-àdire qu’il échange continuellement des informations avec le monde dans lequel il vit, et dont il se nourrit :il absorbe l’ordre du monde extérieur et le stocke dans ses noyaux cellulaires.



Dans les systèmes fermés (tubes à essai, matière inerte) le degré d’organisation varie avec la chaleur :

- l’ordre augmente avec l’extraction de chaleur, provoquant structuration et cristallisation.

- il diminue avec le chauffage : chaos et entropie (désorganisation, liquéfaction).

Toutes les modifications sont prévisibles, reproductibles et réversibles. « Dans les systèmes ouverts, chaque apport d’énergie véhicule des informations et produit des corrélations dans le temps, l’espace, les rythmes et structures : ces changements sont dépendants des microimpulsions précises affectant les noyaux cellulaires…, et modulant leur activité même en l’absence totale ou partielle des substances chimiques ou biologiques nécessaires aux transmissions (Fritz Albert Popp, « la biologie de la lumière »). »



La communication cellulaire et la régulation biologique reposent sur des phénomènes qui dépassent les équilibres chimiques et les lois de la thermodynamique : on ne peut plus raisonner en termes de calories ou de milligrammes de substance chimique par kilo de poids corporel !



Le changement structurel d’un système ouvert n’est pas réversible ; on ne peut faire revenir le système vivant à son état antérieur en lui prélevant l’énergie ou la chaleur apportées (en admettant qu’elles soient identifiables).



Les passages de phase non en équilibre (= crises), qui sont des changements de système d’ordre, ont parfois besoin d’un très faible apport d’énergie déterminée.



- rôle des doses faibles (homéopathie ?)

- précises sur le plan informatif (qualité ?)

- répétées dans le temps (structuration ?)



Si cet apport cesse, tôt ou tard, l’organisation se rompt à nouveau d’elle-même et globalement. (Popp, opus cité).

Des expériences passionnantes ont été menées (Gurwitsch), Bohm / Popp en 1973, Kaznachejev 1981) sur les communications cellulaires et le rayonnement cellulaire ultraténu :

  • tous les organismes vivants émettent une bioluminescence (sauf les algues simples et les unicellulaires) ultrafaible, d’un facteur 10 puissance18 fois plus faible que l’intensité de la lumière du jour.
  • les intensités et spectres de ce rayonnement varient selon les espèces.
  • il y a une augmentation très nette du rayonnement lorsque le système commence à mourir, indépendamment de la manière dont il meurt (toxique, chauffage, congélation…).
  • il disparaît à la mort.
  • les photons sont capables de provoquer et d’activer la division cellulaire, directement (ultra violets).
  • les cellules communiquent entre elles grâce à des flux de photons spécifiques, et ce en dehors de toute transmission chimique, de tout contact physique direct.



Pour vérifier cela, on a placé deux cultures cellulaires dans une solution nutritive, chacune dans un ballon de quartz. Les deux ballons de quartz ont été mis en contact à travers une membrane de quartz (cristallin) ou de verre (amorphe) :

  • quand on contamine la culture cellulaire n° 1 avec un virus, la colonie n° 2 devient malade aussitôt, en présentant les mêmes lésions cellulaires… mais sans la présence virale.
  • quand on provoque une destruction cellulaire avec rayonnements, ou un toxique (mercure), l’autre culture présente les mêmes aspects pathologiques sans induction directe.
  • si on remplace la membrane de quartz par une membrane de verre, la culture cellulaire n° 2 reste indemne, ce qui atteste le mode de communication direct par les ultraviolets que le quartz laisse passer (et pas le verre).



Par ailleurs, les dégâts cellulaires génétiques se réparent pratiquement toujours en quelques heures (quelle que soit la manière dont ils ont été provoqués) dès qu’ils sont irradiés par un faible rayonnement UV (environ 400 nanomètres de longueur d’onde) et ceci dans tout le règne vivant !

  • les cancers des rayonnements induits par la radiothérapie se situent dans la même bande spectrale critique ultraviolette.
  • les molécules cancérigènes provoquent une diminution ou un arrêt de l’absorption et de la réémission de la lumière UV (« quasi dégénérescence »).

A titre anecdotique, les appareils qui ont servi à mesurer ces émissions ultrafaibles (comptage phonique avec photomultiplicateur) permettent de percevoir un ver luisant à 10 km (en l’absence d’interposition bien sûr).

Les conséquences de ces expériences sont immenses, au plan théorique comme en clinique :la contagion basée sur une transmission microbienne ou virale directe, peut se faire à distance sans même le contact entre les personnes !

Il suffit d’avoir l’empreinte vibratoire, informationnelle de la maladie véhiculée par le germe et de la transmettre par onde électromagnétique appropriée… (dans le cas d’une volonté délibérée de guerre bactériologique par exemple).



Imaginez le rôle de la télévision, des satellites qui « informent » continuellement la planète entière avec des images de peur, de violence, de désespoir et de souffrance venues d’un endroit du monde (culture cellulaire n° 1) et diffusées partout (culture cellulaire n° 2). Il suffit de rayonnements UV

appropriés et d’un état de réceptivité cellulaire et psychique pour entrer en résonance, en phase…

Les épidémies peuvent également se propager de cette manière puisque la présence physique du virus n’est pas nécessaire : il suffit de son moule électromagnétique (rôle de la peur en tant que facteur de réception ?).



D’un autre côté, l’identification spectrale des rayonnements ultra faibles en biologie ouvre la voie à ce que Jacques Benvéniste appelle la « biologie numérique ».

« Ces données sont révélatrices de la nature physique du signal moléculaire : ce sont des ondes radioélectriques dans la gamme des Khz. Elles annoncent le passage rapide de la biologie structurelle actuelle vers des méthodes infiniment plus puissantes utilisant les possibilités de l’informatique. »



On peut schématiser deux types d’applications liées mais séparées :

  1. Après le développement technologique des moyens actuels, la diffusion du signal ouvrira immédiatement de nombreuses possibilités d’intervention. Nous pouvons imaginer d’interdire l’accès des cellules à tous les indésirables, internes à l’organisme et d’administrer des produits thérapeutiques sous forme électromagnétique. Ceci éviterait les effets toxiques et les problèmes pharmacocinétiques et galéniques des thérapeutiques actuelles. D’autres applications sont envisageables comme par exemple des pesticides électromagnétiques domestiques et agricoles, etc.
  2. Dès qu’elles seront obtenues, l’analyse et la mémorisation du signal bouleverseront la détection des molécules. Elles seront identifiées en temps réel par la reconnaissance numérique des fréquences (et peut-être neutralisées par les mêmes fréquences en opposition de phase).



Deviendront possibles la détection (par exemple, l’analyse sur le terrain des contaminants et polluants de l’eau, de la rivière au robinet, sans autre limitation du nombre d’espèces chimiques ou bactériologiques que la mémorisation numérique de leur fréquence), la « synthèse » numérique d’activités nouvelles et inconnues, qu’elles soient physiologiques, pharmacologiques ou pathologiques (par exemple infectieuses - bactéries, virus, parasites - ou tumorales…), le stockage

par tout moyen électromagnétique, le transport à distance, l’identification de systèmes biologiques complexes, y compris dans leurs aspects fonctionnels, de façon quasi instantanée et quantitativement illimitée… Les possibilités chimiques, biochimiques, biologiques et médicales seront multipliées d’un facteur comparable à celui qui sépare le cheval de la fibre optique.



Ces applications pourraient contribuer à améliorer l’état sanitaire et alimentaire des pays pauvres et, sur nos sols, enrayer les grandes endémies comme celles résultant de contaminations virales.

(Article paru dans la « Revue Aesculape » N° 5 (Mars/avril 97) de Jacques Benvéniste - Directeur du Laboratoire numérique de l’INSERM)



Dans un monde inondé de rayonnements en tous genres, il devient de plus en plus difficile de vivre sans un principe d’ordre très puissant, capable de changer la nature des ondes discordantes reçues et de les réémettre sur des longueurs d’ondes cohérentes beaucoup plus élevées.



Car l’ADN peut capter une fréquence et en émettre une autre ! Il y a une très grande différence entre les réactions physicochimiques en tube à essai (ou ballons de quartz) et dans un organisme vivant. L’efficacité est sans commune mesure, et dépend « d’un champ porteur, régulateur, englobant constamment tout l’organisme comme un plasma directeur ( = bioplasma) ».



L’autre aspect très important de ces communications cellulaires ultraténues est représenté par les échanges inconscients entre tous les êtres vivants. Nos cellules communiquent entre elles à l’intérieur de notre espace corporel, mais aussi à l’extérieur, avec l’ADN du monde végétal, animal et humain.



Les transmissions se faisant par des faisceaux de photons cohérents (= laser modulable), il n’y a pas de perte d’énergie à distance, pas de dissipation du contenu informatif. Nous sommes loin des équilibres thermiques (flux de photons « froids »), dans le champ « des atomes crochus », des résonances directes d’être à être, d’organisme à organisme… sans mensonge ! Par le biais de la radio ou de l’ordinateur cellulaires !



C’est le support de compréhension des facultés dites parapsychiques, de la télépathie, des ressentis à distance entre une mère et son enfant séparés par des milliers de km, de la transmission de contenus psychiques refoulés et inavouables de génération en génération (« honte familiale » à type de viol ou d’inceste, mort d’enfant, trahisons…) [voir « Aïe mes aieux » de Anne Ancelin Schützenberger - Ed. Desclée de Brouwer].



C’est aussi une porte ouverte sur la possibilité de faire sortir ces programmes de l’ombre pour les ramener dans la conscience éclairée, et en changer la nature… pour développer certaines qualités psychiques également !



Nous sommes faits de lumière condensée dans nos noyaux cellulaires, nourris et élevés par la lumière qui nous parvient du soleil, de l’univers et du monde

ambiant…

Si chaque être réémet de la lumière continuellement, il participe à l’édification

du monde à chaque seconde, d’une manière intangible, invisible par le biais de ces rayonnements ultrafaibles.



La matière de notre corps, qu’on croit dense et solide, est bâtie selon les lois universelles, véhiculées par la lumière sous tous ses aspects, toutes ses fréquences.



Les cellules émettent des microondes dans les gammes de fréquences comprises entre 1011 et 1012 Hz (attention aux interférences avec les fours à micro-ondes et les téléphones « cellulaires » sachant l’induction possible de divisions cellulaires).

La « lumière froide » construit les formes selon les lois de l’univers ; la « lumière chaude » les détruit, dissout les formes et augmente le chaos… Mais elle permet la croissance et l’expansion, si elle est contrôlée.



La libre circulation des informations entre le cerveau, les organes des sens et l’ensemble de l’organisme ne se fait donc pas qu’à travers les hormones, les médiateurs chimiques ou les neurotransmetteurs. Elle implique l’instantanéité des transferts d’information par le biais d’ondes électromagnétiques échangées à chaque seconde au niveau de l’ADN de nos cellules ; ce partage

d’informations et cette solidarité sont seuls garants de la cohérence d’ensemble et de la santé (distribution hologrammique de la mémoire). La maladie apparaît alors comme une discordance (« puzzle éclaté ») avec perte ou blocage d’information. Pour accéder au sens de cette perturbation, il faut pouvoir intégrer les différents niveaux de fonctionnement de la conscience, et ses rapports avec le monde dans lequel elle évolue.

Pour ce faire, sans perturber l’équilibre intérieur déjà fragile par des méthodes invasives , brutales, nous devons apprendre à dialoguer avec le corps, l’ordinateur cellulaire. Le fil conducteur, l’outil du dialogue, peut être la prise du pouls. Le Dr Paul NOGIER, pionner en France de l’auriculomédecine, a montré que le corps réagit à toute information présentée au contact de la peau, ou à distance, par un signal automatique de rebond vasculaire, perceptible au pouls. Ce signal explique la relation existant entre l’organisme et l’information présentée...



Cette information peut être chimique, hormonale, une couleur, un métal ou même un symbole... L’onde électromagnétique ou l’onde de forme émises par la substance ou le signal est reconnue instantanément, décodée, analysée et confrontée à la mémoire disponible dans l’ordinateur cellulaire.. La réponse quasi immédiate au pouls décrit les possibilités d’adaptation et de réponse de la personne.



Exemple : je suis en ordre, pas de toxicité ni de besoin, je m’adapte parfaitement à la question je maîtrise le traitement d’information. S’il s’agit de fer, cuivre, argent... cela signifie que toutes les fonctions physiques ou énergétiques, psychiques dépendant de ce métal sont en ordre.



Une réaction au pouls perturbée indique un problème à explorer.

Les différents pouls palpés sur les artères radiales et cubitales des deux poignets permettent d’entrer en contact avec quatre champs d’expériences de la conscience :

  • la relation avec le Soi et ses valeurs, le(s) but(s) et le sens de l’existence sur le pouls cubital gauche,
  • · le champ mental et les croyances, les rôles et les objectifs matériels, concrets sur le pouls radial gauche,
  • la vie émotionnelle et relationnelle, affective, le travail sur le pouls radial droit,
  • la relation avec le corps, la Terre, la Vie, la cohésion intérieure et la mémoire profonde sur le pouls cubital droit.


L’expérience clinique m’a montré la relation étroite qui s’établit entre le côté gauche du corps et l’influence maternelle, entre le côté droit et le soutien offert par le père.



Par l’étude des pouls de la main gauche on explore la perception, la construction de soi, l’identité, la sphère mentale, l’accès au monde intérieur. C’est le champ d’influence lunaire, labile, sous dominance maternelle pour l’enfant = sphère de l’éveil et de l’intelligence, de la conscience de soi qui se traduit par une certaine lumière psychique, une vivacité du regard…



Une mère possessive ou autoritaire à l’excès peut « couvrir » l’enfant, et éteindre cette lumière temporairement. Cette influence est incontournable pour chaque enfant, c’est l’empreinte de la matrice :pendant toute la grossesse, l4enfant est baigné par les humeurs et les pensées de sa mère, qui s’impriment dans les cellules de son corps, dans les rythmes de ses liquides, dans les «câblages » de son système nerveux…



La mère est à la fois tout autour et au-dessus de l’enfant, reflétant la dynamique centripète du pôle neurosensoriel.



Ainsi chez un enfant présentant des troubles patents d’organisation et de structuration (atteinte précoce des organes des sens), il peut être intéressant de sonder la relation avec la mère et les conflits sous-jacents, parfois imprononçables !



L’autre côté du corps exprime plutôt le rayonnement vital et psychique, les actes et la vie de relation au monde extérieur, ainsi que le bien-être corporel.



Les pouls de la main droite sont le reflet de la spontanéité d’être, de l’expression de soi, de l’énergie vitale et de la créativité :tous ces aspects, de nature solaire, émergent du courant de vie que l’enfant prend par les pieds en se redressant. Cette force-là, offerte par la Terre, réchauffe le ventre, nourrit les reins et le plexus solaire ; elle permet l’expression de soi dans un conflit, pousse à l’action et au don de soi… au combat aussi quand elle est excessive, insuffisamment guidée par la lumière psychique du pôle neuro-sensoriel.



Toute la chaleur physique et psychique vient du ventre, à la rencontre de la lumière d’en haut. Les deux courants d’énergie s’interpénètrent continuellement, du haut vers le bas et du bas vers le haut comme une étreinte constante du Père et de la Mère pour faire naître l’Enfant , la conscience déployée et harmonisée aux deux pôles.



La proportion, l’influence relative de chacun des courants varient selon les individus, mais surtout selon les parties du corps. La tête, sphère de la conscience d’éveil a une vitalité très réduite, presque suspendue à un fil :les cellules nerveuses ne se renouvellent pas (ou très lentement si l’on en croit les dernières découvertes à ce sujet), la moindre inflammation perturbe toutes les fonctions de cette zone (migraine, sinusite ou otite).



A l’inverse, la conscience est peu présente aux viscères, ou alors les perturbent (colite spasmodique) ;mais la force et la chaleur se déploient fortement vers le monde extérieur.



Et c’est le père qui le représente, car il vient à la rencontre de l’enfant du dehors, la mère étant perçue comme les limites extérieures du corps de l’enfant. Ainsi la façon dont le père reconnaît l’enfant, entre en contact avec lui, la qualité de l’affection et de la protection offertes permettent à cette force de vie, d’être reçue et de se déployer.



Il s’agit bien d’un soutien par le bas, dont le père est responsable : un refus de la

grossesse, une absence trop grande, une image du père trop faible ou négative

(violence, raideur excessive ou effacement total) se traduisent chez l’enfant par une perturbation ou un blocage profond du courant de vie, de la prise de terre.

Avec ses conséquences évidentes : manque d’énergie et de vitalité, de confiance et de stabilité, peur du conflit… ou impulsivité, violence et irritabilité continuelles chez un être réactif (recherche du conflit pour mesurer la force qu’il n’a pas reçue).



Dans une maison, la prise de terre protège des sautes de courant (d’humeur) et des coups de foudre (sidération psychique par un choc) en évacuant vers les pieds et le sol l’excédent d’énergie qui échauffe les circuits… Avoir une bonne prise de terre, c’est intégrer les stress de la vie de tous les jours en restant relâché, sans « disjoncter », sans que les épaules s’alourdissent constamment.



D’une certaine manière, on nourrit cette attitude, gage de résistance et de stabilité, en confiant nos problèmes à la vie qui coule en nous, pas en se raidissant pour avancer avec la charge sur les épaules.



Ecole de détachement et de simplicité…

C’est par le pouls correspondant aux énergies de racines, d’ancrage en terre, que viennent, vers la conscience, les archaïsmes les plus profonds = tendances morbides familiales, problèmes de vie intra-utérine ou des trois premières années d’existence (carences affectives précoces), mémoires ethniques, ou souvenirs d’un passé lointain…

Si l’ouverture au corps et à la vie est bonne, gage d’une bonne relation au père, ou d’un travail actif de pacification réalisé à l’âge adulte, ces mémoires se libèrent vers la conscience comme un fruit mûr tombe de l’arbre, libérant un voile ou une entrave à une fusion plus profonde.



Fusion entre la vie et la lumière, provoquant illumination progressive, ordre etalignement entre les différents niveaux d’organisation.

Si un verrouillage profond existe à un niveau (un chakra majeur), l’entrave à la libre circulation de l’énergie-vie va provoquer l’émergence d’une maladie plus ou moins importante selon les cas.

La comparaison avec la maison qu’on habite permet de saisir les analogies évidentes entre monde intérieur et monde extérieur .



C’est toujours intéressant d’examiner de près son habitat, parce qu’on peut y lire parfois des informations très précises sur le fonctionnement de notre personnalité: d’abord le choix de la maison, et puis les problèmes qu’on rencontre (fuites d’eau, de toit, problème d’isolation, le bruit, WC bouchés…)

Et la pratique m’a montré aussi qu’on pouvait s’aider soi-même,( par exemple avec un problème d’ancrage en terre, « de racines ») en allant intentionnellement ranger sa cave, nettoyer et faire le constat conscient de ce qui ne va pas ! Il y a une sorte de simultanéité, de synchronisation entre les

évènements extérieurs à nous, qui nous arrivent du dehors apparemment, et les changements intérieurs, souvent inconscients, qui s’opèrent ou doivent s’opérer dans notre vie psychique et physique.



L’axe vertical des pouls cubitaux est le champ de résolution de la dualité CORPS/ESPRIT (objectivité), l’axe horizontal des pouls radiaux, le champ de résolution de la dualité MENTAL/AMOUR (subjectivité).

Ces deux axes sont constamment en interaction l’un sur l’autre, l’évolution se portant tantôt dans une des directions, tantôt dans l’autre, selon des séquences particulières.



Il reste que le champ le plus perturbé dans la grande majorité des cas est le champ émotionnel :toute la vie affective, les attachements, les comportements hérités, la vie professionnelle et créative ;tout cela conditionne l’essentiel des perturbations qui nous affligent de quelque manière que ce soit.

Le bilan de départ montre l’état global de la personne, son ouverture, son organisation intérieure : un axe vertical avec les pouls cubitaux, un axe horizontal avec les pouls radiaux. Par ses réponses aux questions posées (tests), l’organisme indique par quel pouls (plan ou corps) commencer, quels sont les éléments importants et accessoires, et dans quel ordre traiter...

Puis on change de pouls pour vérifier la mobilité intérieure, et le transfert



d’informations entre les niveaux.., jusqu’à l’obtention d’un déploiement complet de tous les paramètres de mesures dans les quatre pouls. L’être est alors centré, ouvert, et ses niveaux interconnectés : il entre alors dans un mouvement d’oscillation globale qui peut durer quelques jours (à plusieurs semaines), et aboutit à un autre équilibre, en principe meilleur, sur lequel il faudra à nouveau travailler.



L’intervalle entre les séances varie selon l’état de la personne, l’urgence et la profondeur des troubles, leur ancienneté, les possibilités de conscience du patient, celles du thérapeute en même temps que la précision de ses outils, et sa cohérence. Ce que j’observe au quotidien depuis près de 20 ans, c’est que nous avons au fond de nous des ressources extraordinaires dans le “disque dur de

l’ordinateur” (1’ ADN de nos cellules comporte 3 à 5 % de gènes impliqués dans le fonctionnement du corps et plus de 90 % restent hors de notre compréhension rationnelle).



Avec des clés d’accès appropriées, nous pouvons ouvrir certaines portes intérieures qui nous rapprochent de notre être profond, de notre simplicité fondamentale et lumineuse... On peut vivre alors des transformations radicales, faire l’expérience de l’unité d’axes, où tout est simple ! Vivre cet état quelques semaines permet de remplacer (dans le disque dur cellulaire) l’image ancienne de soi par une autre plus pleine et rayonnante, plus conforme à notre perception du Soi... et de la garder toute notre vie.



Les états de crise ultérieurs sont alors vécus avec une autre légèreté, et un autre regard, beaucoup plus serein ; car il n’y a pas de changement profond dans une maladie grave (cancer, maladie auto-immune, SIDA, dépression...) sans accès au sens et sans compréhension.



Le sens est porteur d’ordre ; il a une fonction rassurante, donne une direction et permet d’accepter une épreuve difficile comme un apprentissage nécessaire de soi-même, que la Vie propose. En reprenant la responsabilité de sa vie, on augmente sa cohérence, sa confiance.., et on peut faire disparaître à la fois la tendance à la maladie et le besoin du thérapeute, ce qui est le but réel de toute

thérapie.



Diffusé sur www.arsitra.org - (c) 2002

Glucosamine, chondroïtine, cartilages

Arthrose : 5 méthodes naturelles pour apaiser la douleur

La glucosamine et la chondroïtine

La glucosamine et la chondroïtine 

 Produit naturellement par l’organisme à partir du glucose et de la glutamine (= un acide aminé), la glucosamine joue un rôle prépondérant dans le maintien de l’intégrité du cartilage de l’ensemble des articulations. Elle permet de ralentir la dégradation des cartilages et favorise l’action lubrifiante du liquide synovial, un lubrifiant naturel des articulations. Des études cliniques 1-2 ont démontré que la glucosamine permettrait également de freiner la progression de l’arthrose.

Les propriétés de la chondroïtine s’apparentent à celle de la glucosamine puisqu’elle est également un composé essentiel du cartilage naturellement produit par l’organisme. Les essais cliniques ont validé l’efficacité de la chondroïtine quant au soulagement de la douleur associée à l’arthrose et au ralentissement son évolution. Elle serait favorable à la reconstruction du cartilage et permettrait d’inhiber partiellement l’enzyme responsable de sa destruction, l’hyaluronidase. 

Comme ces deux substances, la glucosamine et la chondroïtine, présentent des propriétés différentes, certaines études ont conclu à leurs effets bénéfiques lorsqu’elles sont combinées pour soulager l’arthrose du genou.

Posologie de la glucosamine

Prendre 1 500 mg de sulfate de glucosamine, en une ou plusieurs doses, en mangeant. Prévoir de 2 à 6 semaines avant que les effets se manifestent pleinement.

Posologie de la chondroïtine

Capsules ou comprimés : Prendre de 800 mg à 1 200 mg par jour, en une ou plusieurs prises. Il faut compter de 2 à 8 semaines pour que l'effet se fasse pleinement sentir.

Source :  http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=arthrose-5-methodes-naturelles-apaiser-douleur-la-glucosamine-et-la-chondroitine
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Le cartilage de requin
 

Autres noms : cartilage marin, squalamine.

Indications

Efficacité incertaine Contrer ou ralentir la croissance des tumeurs cancéreuses et les métastases. Voir la légende des symboles

Posologie

Les essais n’ont pas donné de résultats concluants.
 
Attention. Tout traitement alternatif destiné à lutter contre le cancer devrait être entrepris sous la supervision d’un médecin.
 
 
Note. Santé Canada n’a pas homologué le cartilage de requin comme produit de santé naturel pour lutter contre le cancer. En revanche, le cartilage de requin est un des ingrédients de quelques produits de santé naturels homologués pour soulager les douleurs arthritiques : il constitue la source de chondroïtine de ces suppléments.
 

Description du cartilage de requin

Le cartilage de requin, comme tous les tissus cartilagineux, n’est pas irrigué par le sang, parce qu’il contient des substances qui empêchent la formation de vaisseaux sanguins (angiogénèse). La formation de nouveaux vaisseaux sanguins est un processus physiologique qui, normalement, se produit seulement à des moments spécifiques de l'existence :
  • durant la grossesse, afin de permettre la croissance du foetus;
  • durant l'enfance, période de forte croissance de tous les organes et tissus;
  • au moment de la guérison d'une plaie, afin de permettre la réparation des vaisseaux sanguins abîmés.
L’angiogenèse se produit de façon anormale et devient problématique en présence d’une tumeur cancéreuse, car elle lui permet de croître, celle-ci ayant besoin d'être irriguée en sang pour se développer.
Des chercheurs ont constaté que le cartilage de requin renferme une ou plusieurs substances antiangiogéniques. Comme ces dernières empêchent le développement de nouveaux vaisseaux sanguins, elles pourraient donc, théoriquement, entraver la croissance des tumeurs cancéreuses et l’apparition de métastases. Cependant, les résultats des recherches cliniques ont été très décevants jusqu’à maintenant (voir Recherches).
Une des croyances les plus répandues sur le requin veut qu'il ne connaisse pas le cancer. Ce n'est pas tout à fait exact puisque, bien que la prévalence de cette maladie soit faible chez lui, on a observé qu'il pouvait souffrir de quelques formes de cancer.
Les principales espèces de requin auxquelles on a recours pour fabriquer les suppléments du commerce sont l'aiguillat ou « chien de mer » (Squalus acanthias) et le requin marteau halicorne (Sphyrna lewini) qu’on pêche surtout dans le Pacifique. Une des plus grandes usines de transformation se trouve au Costa Rica. L’utilisation de cartilage de requin pour la fabrication de suppléments s’ajoute aux nombreuses autres activités humaines qui menacent cette espèce.
Principalement constitué de protéines (40 %) dont la squalamine, le cartilage de requin renferme également environ 25 % de calcium. Il contient aussi des composés appelés glycosaminoglycanes (jusqu'à 20 %), dont la chondroïtine serait le plus important.

Historique du cartilage de requin

Avant les années 1970, la recherche avait essentiellement porté sur le cartilage bovin. Les résultats d'études préliminaires indiquaient que ce cartilage pouvait stimuler le système immunitaire et combattre le cancer et l'inflammation. Puis, on a découvert que le requin représentait probablement une meilleure source de cartilage, du fait qu'il en renferme, toutes proportions gardées, 6 fois plus que le boeuf (6 % plutôt que 1 %). Au cours des années 1970 et 1980, les résultats d’études préliminaires ont révélé que le cartilage de requin renfermait des substances ayant des propriétés antitumorales.
Au tournant des années 1990, aux États-Unis, on a largement médiatisé les résultats spectaculaires de 3 essais cliniques menés au Mexique, au Panama et à Cuba. Toutefois, ces travaux n'avaient jamais été révisés par des pairs ni publiés dans des revues scientifiques reconnues. Ces études ont été par la suite discréditées, mais la publicité ayant fait son oeuvre, le cartilage de requin devint extrêmement populaire auprès du public. En 2000, la Federal Trade Commission américaine (FTC) accusait de publicité trompeuse et illégale le fabricant du produit en question (Lane Laboratories, fabricant du produit BeneFin®).
En même temps, un laboratoire québécois entreprenait une série d'essais cliniques sur les effets d’un extrait liquide de cartilage de requin sur les tumeurs cancéreuses (Laboratoires Aeterna, fabricant du produit Neovastat®). Comme il s'agit de recherches privées, les résultats de la plupart de ces travaux n'ont pas été publiés dans des journaux ou revues médicales. Seuls quelques résultats préliminaires ont fait l'objet de présentations lors de colloques et de séminaires spécialisés.

Recherches sur le cartilage de requin

Inefficace Cancer. Au cours des années 1970, des études in vitro et sur des animaux de laboratoire ont démontré que le cartilage bovin avait des propriétés antiangiogéniques1-3. En 1999, des chercheurs québécois ont mené un essai à double insu avec placebo auprès de 29 sujets sains auxquels on avait infligé une légère blessure cutanée. Les résultats indiquaient que l'angiogenèse, qui devait normalement se déclencher pour assurer la guérison de la plaie, avait été inhibée chez les sujets qui avaient pris un extrait de cartilage de requin par voie orale, mais pas chez ceux auxquels on avait donné un placebo4.
À partir de la fin des années 1990, des essais sur des patients cancéreux ont été menés avec des extraits purifiés de cartilage de requin, mais n’ont pas été probants5,6. Les résultats obtenus au cours des essais menés depuis le début des années 2000 ne sont pas non plus concluants7-9. L’étude la plus récente, publiée en 2010, a porté sur 379 sujets atteints d’un cancer du poumon de stade 3 inopérable. L’ajout d’un extrait liquide de cartilage de requin (Neovastat AE-941®) aux traitements de chimiothérapie et de radiothérapie n’a pas été plus efficace que les traitements classiques et un placebo pour augmenter le temps de survie des patients10.
Des études ayant donné des résultats prometteurs ont été présentées à quelques symposiums, mais leurs résultats détaillés n’ont jamais été publiés, ce qui laisse planer un sérieux doute sur leur fiabilité11-13. Au cours de 2 essais menés au Québec, on a comparé l’effet de différentes doses d’un extrait liquide de cartilage de requin (Neovastat®) sur des patients cancéreux (cancer du poumon14 et cancer du rein15). Les participants ayant pris les quantités les plus élevées ont eu une durée de survie plus longue que les autres sujets. Cependant, en l’absence d’un groupe placebo ou témoin, ces résultats ne permettent de conclure à l’efficacité du cartilage de requin.

Précautions

Attention

  • Tout traitement alternatif destiné à lutter contre le cancer devrait être entrepris sous la supervision d’un médecin.
  • Lorsqu'une personne souffre de troubles des artères ou de la circulation périphérique, son organisme peut se mettre à fabriquer des vaisseaux sanguins de contournement, un processus qui peut être inhibé par le cartilage de requin.
  • Ne pas consommer un produit dégageant une odeur nauséabonde.

Contre-indications

  • En raison de son action antiangiogénique, le cartilage de requin est contre-indiqué en cas de grossesse et d'allaitement, chez les enfants et chez les personnes souffrant d'une plaie consécutive à une blessure ou à une intervention chirurgicale.

Effets indésirables

  • Troubles gastro-intestinaux et nausées.
  • Au cours d’une étude sur le produit Benefin®, les effets indésirables suivants ont été constatés : diarrhée, brûlures d’estomac, douleurs au dos, aux articulations et aux membres ainsi que réduction du nombre de globules blancs (cellules du système immunitaire)9. Mais il faut dire que les doses étaient très élevées : de 1 g à 2 g par kg de poids corporel.
  • Certains produits à base de cartilage de requin peuvent altérer le sens du goût chez des sujets.
  • Un cas d’inflammation du foie potentiellement relié à la consommation de suppléments de cartilage de requin a été rapporté16.

Interactions

Avec des plantes ou des suppléments

  • Aucune connue.

Avec des médicaments

  • Aucune connue.

Sur les tablettes

  • Santé Canada n’a pas homologué le cartilage de requin comme produit de santé naturel pour lutter contre le cancer. En revanche, le cartilage de requin est un des ingrédients de quelques produits de santé naturels homologués pour soulager les douleurs arthritiques : il constitue la source de chondroïtine de ces suppléments.
  • En magasin et sur Internet, de très nombreux produits, de tous les prix, sont offerts. Leur qualité et leur concentration varient beaucoup, de même que les dosages recommandés par les fabricants (de 1 g à 20 g par jour). Les produits liquides sont très chers et, à dosage élevé, peuvent coûter 1 000 $ et plus par mois. Les allégations miracles de certains fabricants et distributeurs ne sont pas fondées.
 
Réviseure :
Shannon Cowan, Ph.D., professeure adjointe, Programme de biologie appliquée, Faculty of Land and Food Systems, Université de Colombie-Britannique (février 2011)
Recherche et rédaction : PasseportSanté.net
Mise à jour : février 2011
 
 

Références

Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.
Bibliographie
Æterna Zentaris Inc, fabricant d’extrait de cartilage de requin utilisé au cours d’essais cliniques [Consulté le 25 janvier 2011] www.aeternazentaris.com
Barrett Stephen, MD. FDA and FTC Attack Shark Cartilage. [Consulté le 25 janvier 2011] www.quackwatch.org/
COMPASS Nutrition, fabricant d’extrait de cartilage de requin [Consulté le 25 janvier 2011] www.compassnutrition.com
Casewatch. U.S. District Judge Issues Permanent Injunction Against Lane Labs-USA, Inc. and Orders Firm to Refund Money to Purchasers of Illegally Marketed Unapproved Drugs, July 13, 2004. [Consulté le 25 janvier 2011] www.casewatch.org
Ernst Edzard (Ed). The Desktop Guide to Complementary and Alternative Medicine, Mosby, Grande-Bretagne, 2001.
Federal Trade Commission, États-Unis. "Operation Cure.all" Nets Shark Cartilage Promoters: Two Companies Charged with Making False And Unsubstantiated Claims for Their Shark Cartilage And Skin Cream as Cancer Treatments, 29 juin 2000. [Consulté le 25 janvier 2011] www.ftc.gov
Finkelstein JB. Sharks do get cancer: few surprises in cartilage research. J Natl Cancer Inst. 2005 Nov 2;97(21):1562-3. No abstract available. Texte intégral : jncicancerspectrum.oxfordjournals.org
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The Natural Pharmacist (Ed). Natural Products Encyclopedia, Herbs & Supplements - Cartilage, ConsumerLab.com. [Consulté le 10 décembre 2010]. www.consumerlab.com

Notes
1. Brem H, Folkman J. Inhibition of tumor angiogenesis mediated by cartilage.J Exp Med. 1975 Feb 1;141(2):427-39.
2. Langer R, Brem H, et al. Isolations of a cartilage factor that inhibits tumor neovascularization.Science. 1976 Jul 2;193(4247):70-2.
3. Langer R, Conn H, et al. Control of tumor growth in animals by infusion of an angiogenesis inhibitor.Proc Natl Acad Sci U S A. 1980 Jul;77(7):4331-5.
4. Berbari P, Thibodeau A, et al. Antiangiogenic effects of the oral administration of liquid cartilage extract in humans.J Surg Res. 1999 Nov;87(1):108-13.
5. Miller DR, Anderson GT, et al. Phase I/II trial of the safety and efficacy of shark cartilage in the treatment of advanced cancer.J Clin Oncol. 1998 Nov;16(11):3649-55
6. Leitner SP, Rothkopf MM, et al. Two phase II studies of oral dry shark cartilage powder (SCP) in patients with either metastatic breast or prostate cancer refractory to standard treatment. Amer Soc Clin Oncol 1998;17:A240. Étude citée et résumée dans : National Cancer Institute (NCI), États-Unis. Cartilage (Bovine and Shark). Health Professional Version. [Consulté le 25 janvier 2011]. www.cancer.gov
7. Les Laboratoires Aeterna dévoilent les résultats de l'étude de phase III sur le carcinome du rein avec le Neovastat. [Consulté le 25 janvier 2011] www.aeternazentaris.com
8. Latreille J, Batist G, et al. Phase I/II trial of the safety and efficacy of AE-941 (Neovastat) in the treatment of non-small-cell lung cancer. Clin Lung Cancer. 2003 Jan;4(4):231-6.
9. Loprinzi CL, Levitt R et al. Evaluation of shark cartilage in patients with advanced cancer. Cancer. 2005 Jul 1;104(1):176-82.
10. Chemoradiotherapy with or without AE-941 in stage III non-small cell lung cancer: a randomized phase III trial. Lu C, Lee JJ, Komaki R, et al. J Natl Cancer Inst 102 (12): 859-65, 2010.
11. Saad F, Klotz L, et al. Phase I/II trial on AE-941 (Neovastat) in patients with metastatic refractory prostate cancer (abstract presentation). Canadian Urological Association Annual Meeting (June 24-27, 2001). Présentation citée et résumée dans : Natural Standard (Ed). Herbs & Supplements - Shark Cartilage, Nature Medicine Quality Standard. [Consulté le 10 décembre 2010]. www.naturalstandard.com
12. AE-941, a multifunctional antiangiogenic compound: trials in renal cell carcinoma. Bukowski RM. Expert Opin Investig Drugs. 2003 Aug;12(8):1403-11. Review.
13. AE-941 in Treating Patients With Relapsed or Refractory Multiple Myeloma AE-941 in Treating Patients With Relapsed or Refractory Multiple Myeloma [Consulté le 25 janvier 2011] clinicaltrial.gov
14. Riviere M, Latreille J, Falardeau P. AE-941 (Neovastat), an inhibitor of angiogenesis: phase I/II cancer clinical trial results. Cancer Invest 1999;17(suppl 1):16-17. Étude citée et résumée dans : Natural Standard (Ed). Herbs & Supplements - Shark Cartilage, Nature Medicine Quality Standard. [Consulté le 10 décembre 2010]. www.naturalstandard.com
15. Batist G, Patenaude F, et al. Neovastat (AE-941) in refractory renal cell carcinoma patients: report of a phase II trial with two dose levels.Ann Oncol. 2002 Aug;13(8):1259-63.
16. Ashar B, Vargo E. Shark cartilage-induced hepatitis. Ann Intern Med. 1996 Nov 1;125(9):780-1. www.annals.org


SOURCE  http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=requin_cartilage_ps